Histoire écrite par Valentin Dubrulle
Il était une fois, dans un grand océan bleu, un adorable lamantin nommé Lucie. Lucie était connue pour être la plus douce et la plus gentille des créatures marines.
Lucie aimait nager avec ses amis les poissons, jouer avec les dauphins et flotter sur le dos en écoutant le chant des baleines. Mais il y avait une chose qui la rendait triste: elle ne savait pas nager très vite.
Lucie avait toujours envie d’explorer de nouveaux endroits dans l’océan, mais elle était trop lente pour suivre ses amis. Elle se sentait souvent seule et laissée pour compte.
Un jour, alors qu’elle nageait paisiblement, elle a rencontré une tortue sage et bienveillante. La tortue a remarqué que Lucie avait l’air triste et lui a demandé ce qui se passait.
Lucie a expliqué à la tortue qu’elle était trop lente pour suivre ses amis et qu’elle se sentait seule. La tortue a compris ce que ressentait Lucie et lui a dit: « Tu sais, Lucie, tu as peut-être l’impression que tu es lente, mais tu es en réalité très forte et capable de choses incroyables. Tu as une force que tes amis ne possèdent pas. »
Lucie ne comprenait pas ce que la tortue voulait dire, alors la tortue a expliqué: « Tu es un lamantin, Lucie. Tu peux nager pendant des heures sans te fatiguer et tu es incroyablement résistante aux courants forts de l’océan. C’est une qualité que tes amis n’ont pas. »
Lucie a commencé à comprendre ce que la tortue voulait dire et a commencé à se sentir mieux. Elle a décidé de montrer à ses amis ses compétences en nageant plus loin et plus longtemps qu’eux. Elle a également aidé ses amis à trouver de la nourriture dans des endroits difficiles à atteindre.
Finalement, tous les autres animaux marins ont commencé à apprécier et admirer Lucie pour sa force et son endurance. Elle avait trouvé une nouvelle place dans le groupe et se sentait plus heureuse que jamais.
À partir de ce jour, Lucie savait qu’elle était un lamantin incroyable et que sa force intérieure était sa plus grande qualité. Elle était heureuse de nager dans l’océan, sachant que ses amis la respectaient et l’admiraient pour ce qu’elle était.